Comment comprendre la société indienne si ce n'est en classant tout ce qui passe sur les carrefours : cyclistes, motards, piétons, enfants, sadhus, livreurs, ... Plus de 200 planches disponibles pour une exposition.

Ahmedabad, 6e métropole de l’union indienne, est surnommée la Manchester de l’Inde. "C’est la nuit, entre 1 heure et 4 heures du matin que j’ai découvert le squelette de la ville, vidée en apparence de ses habitants et offrant un décor saisissant sous un éclairage urbain en bout de course. Des nuits blanches pour découvrir la ville au repos."

En botanique, le «wilting point» ou «point de flétrissement», est le seuil au-delà duquel une plante, par manque d’eau, ne pourra plus survivre.

Depuis plus de dix ans, William Daniels se rend à répétition dans certaines zones instables, rendant compte du chaos et de la fragilité du monde et aussi de l'équilibre précaire entre l'humain et la nature.

Les bals présentés dans cette série ont été photographiés dans les départements de la Haute-Saône, du Doubs et du Jura. Ces lieux, où viennent se rencontrer et danser les jeunes, se situent dans les campagnes et sont itinérants. Ils effectuent un circuit au cours de l’année les amenant chaque semaine dans un village différent.

Venezia, la scomparsa est le fruit d’une carte blanche à Venise proposée par Jean-Michel Wilmotte.

L’exposition est accompagnée d’un livre publié aux Editions Xavier Barral

Aude Sirvain a demandé à ses amis quel serait l’emplacement idéal de leur maison actuelle. Afin d'exaucer leur rêve, elle a photographiquement déplacé l’image de leur maison jusqu’au lieu idéalisé, en laissant toutefois quelques "accidents photographiques" s'imprimer sur cette presque carte postale.

En Inde, 15 millions de minuscules échoppes nourrissent 17% de la population mondiale. Véritables temples du commerce indien, ils s’érigent en petits théâtres de la vie. Les barbiers, les vendeurs de chaï, les maraîchers, les nettoyeurs d’oreilles, les couturiers sont autant de points de rencontre et d’échanges. Mais ne seront-ils pas bientôt dévorés par la grande distribution ?

​Portraits et paroles d'exilés réalisés au Centre d'accueil d'urgence d'Emmaüs Solidarité Porte de la Chapelle. Exposé aux Rencontres photographiques d'Arles, à la Villette et à la Quinzaine Photographique Nantaise.

Lauréats du Premier Prix de la commande photographique en 2018.

Joffrey Pleignet dispose côte à côte des photographies de montagne vosgienne ou jurassienne et des photographies d’objets dégradés ou des restes d'animaux qu’il a trouvés sur place. Il installe ainsi au même niveau les paysages et le fruit de sa collecte, transformés par le temps et format un même ensemble marqué par le passage de l'homme.

​Deux mondes s'entrechoquent pour laisser apparaitre un territoire globalisé, issu de photographies à la chambre de Paris confiées à des peintres indiens qui se sont appropriés la ville.

Jour / nuit, on allume puis on éteint la lumière dans la forêt. On joue à se faire peur et on découpe le paysage en cône. L’étrangeté de l’éclairage des phares de la bagnole focalise notre regard sur un paysage surréaliste et nous fait frissonner de ne pas discerner l’environnement au-delà du faisceau.

​Et s'il existait un passage secret entre Pantin et Bombay ?

Les villes et les cultures s'entrechoquent pour former des diptyques de cités hybrides dans lesquelles toutes les frontières seraient tombées. Au paroxysme de la mondialisation.

​"Les bancs ? Alors tu vas voir les bancs. Quand ils sont vides, je vois des gens dessus. Des gens qui regardent la vue, devant eux. Et là, qu'est-ce que je vois ? C'est moi qui meurs, tu sais, alors voilà. Note bien, ma mort, j'y pense pas bien souvent mais devant ces bancs, c'est elle.

Tu frissonnes ?"

Saint-Servan, Ille-et-Villaine.